Chaykhaboulaliyah's Blog


Quelques conseils

Posted in islam par chaykhaboulaliyah sur août 15, 2010
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La louange est à Allah, le Seigneur des mondes, que Allah honore et élève davantage le rang de notre maître Mouhammad et qu’Il préserve sa communauté de ce qu’il craint pour elle. Nous demandons à Allah qu’Il nous fasse apprendre ce que nous ignorons, qu’Il nous fasse nous rappeler de ce que nous avons oublié et qu’Il nous augmente en connaissances et nous Lui demandons de nous préserver de l’état des gens de l’enfer. Nous demandons à Allah qu’il fasse que nos intentions soient sincères par recherche de son agrément.

Il y a dans le Qour’an honoré et dans la sounnah du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, des bases fortes pour protéger la constitution de la personne, pour que l’esclave croyant puisse remplir son rôle dans la vie du bas monde et assumer les responsabilités qu’il a vis-à-vis de sa famille, vis-à-vis de ses frères et de son environnement. Allah tabaraka wa ta^ala a créé l’être humain avec une parfaite constitution. Et Allah a accordé à l’être humain plusieurs sortes d’aliments, tant par leur apparence, par leur goûts que par leur composition. Allah ^azza wa jall dit, dans le Qour’an honoré « … » sourat ar-Ra^d, ‘ayah 4. Dans cette ayah, Allah nous apprend qu’il y a sur terre différentes sortes d’arbres et de plantes. Parmi ce qui est cité, il est cité le raisin, les palmiers et Allah a accordé un mérite à certains aliments sur d’autres. Allah tabaraka wa ta^ala nous a indiqué dans le Qour’an et également par ce qu’Il a révélé à Son prophète élu, notre maître Mouhammad, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, les mauvais aliments pour les éviter et les bons aliments qui, lorsqu’ils sont bien exploités, vont contribuer pour protéger le corps. Allah ta^ala dit « .. » sourat al-A^raf, ayah 157, c’est-à-dire « les bons aliments leur ont été licites et les mauvais leur ont été interdits » et il est rapporté dans le Qour’an honoré et dans la tradition du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, plusieurs ayah et hadith honoré, qui indiquent qu’il y a différentes sortes de fruits, de plantes, d’oiseaux, d’animaux que Allah a rendu licité à l’être humain. La bonne santé fait partie des grâces importantes que Allah a accordé à Ses esclaves et il convient à celui qui a eu la bonne santé de la conserver et le prophète éminent, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, a dit «Ni^matani … » rapporté par Al-Boukhariyy, ce qui signifie « Il y a deux grâces, deux bienfaits que  beaucoup de gens ne savent pas exploiter, qui sont la bonne santé et le temps libre » et le prophète ^alayhi ssalat wa salam a dit « Man asbaha … » rapporté par At-Tirmidhiyy, ce qui signifie « Celui qui se lève au matin avec un corps en bonne santé, en sécurité et qui a l’alimentation de sa journée, c’est comme si le bas monde lui a été accordé ». Et le prophète éminent, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, a dit à son oncle paternel Al-^Abbas « Ya ^Abbas… » rapporté par At-Tirmidhiyy qui l’a jugé sahih, ce qui signifie « Ô toi, ^Abbas, Ô toi l’oncle paternel du messager de Allah, demandes à Allah al-^afiyah dans le bas monde et dans l’au-delà ». Al-^afiyah dans le bas monde, c’est la bonne santé et al-^afiyah dans l’au-delà englobe le fait d’être préservé du supplice de la tombe parce que la première des étapes de l’au-delà, c’est la tombe et al-^afiyah dans l’au-delà englobe également, le fait d’être préservé du châtiment de l’au-delà. Ainsi, celui à qui Allah tabaraka wa ta^ala a accordé la piété – at-taqwa– et al-^afiyah dans les deux sens, al-^afiyah dans le bas monde, c’est-à-dire la bonne santé et al-^afiyah dans l’au-delà, c’est-à-dire la protection du supplice de la tombe et du châtiment de l’au-delà, celui qui a eu cela, aura eu un grand bien. Al-^afiyah dans le bas monde repousse de la personne les maladies du corps et al-^afiyah dans la religion et la piété, repousse de la personne le supplice de la tombe et le châtiment de l’au-delà et celui qui observe et qui étudie parfaitement l’héritage que nous a laissé notre prophète éminent, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, dans ce bas monde et la manière avec laquelle il vivait, il verra que c’est la meilleure des guidées pour conserver la bonne santé. En effet, conserver la bonne santé et protéger sa santé se base sur une bonne alimentation que ce soit la nourriture, la boisson et également, une bonne gestion de l’habillement, du logement, de l’air, du sommeil, de l’éveil, du mouvement, du repos, etc… Si toutes ces choses sont faites de manière modérée qui convient au corps, qui convient au pays où la personne vie, qui convient à l’âge de la personne, qui convient à ce qui est habituel, cela facilite le fait de conserver la bonne santé jusqu’à la mort. Ainsi, parmi les choses qui sont nuisibles, c’est le fait d’avoir un grand appétit pour la nourriture. Avoir un grand appétit et manger en grande quantité, alourdi le cœur, alourdi le corps et favorise des mauvaises habitudes comme la faiblesse, comme la paresse, c’est-à-dire, la personne fait preuve de paresse dans son obéissance à Allah tabaraka wa ta^ala et c’est ce que le chaytan recherche. Par contre, être modéré dans son alimentation, dans sa nourriture et sa boisson, ceci favorise la bonne santé et favorise al-^afiyah et par la volonté de Allah, une longue vie. Il accorde au corps une plus grande vigueur et une plus grande force, une légèreté dans le déplacement et surtout une force pour l’accomplissement des actes d’obéissance et c’est ce qui est requis dans la Loi pour l’esclave qui est croyant. Le prophète éminent, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, donnait l’exemple à sa communauté dans la faible quantité de nourriture et de boisson. Ainsi, le prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, prenait juste la part indispensable de nourriture et de boisson, ce qui permet au corps de rester en bonne santé aussi bien par la quantité que par la qualité et tout cela est déduit de la Parole de Allah  « Wa… ». Allah tabaraka wa ta^ala a indiqué dans cette ayah que la personne introduit dans son corps, ce qui permet au corps de rester en bonne santé, c’est-à-dire la nourriture et la boisson qui permettent au corps de rester en bonne santé pour remplacer ce qui en est sorti et que la quantité et la qualité soit juste ce qui permet au corps d’en profiter, parce que dès lors que ça dépasse cette limite, ça devient une exagération et cela empêche la bonne santé et al-^afiyah et généralement ça entraîne les maladies, c’est-à-dire qu’un excès dans un sens ou dans un autre, généralement entraîne les maladies et celui qui voit comment le prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, s’alimentait, il voit bien que le prophète n’était pas un de ceux qui mangeaient en dépassant les limites. Il ne multipliait pas les variétés de nourriture et de boisson mais son alimentation était modeste. Ainsi, le prophète consommait de ce que l’on trouvait habituellement dans son pays : la viande, des fruits, le pain, les dattes, les végétaux qui étaient dans son pays. Parmi les nourritures du prophète, il y a les courgettes, les dattes qui avant qu’elles ne deviennent dures, quand elles sont encore tendres, il a été aussi rapporté que le prophète a mangé du raisin sec, du raisin, du melon et le prophète appréciait ce qui est sucré et frais. Tout comme, il a mangé, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, du miel et il l’appréciait, il a même incité sa communauté à l’utiliser comme remède. Le prophète ^alayhi ssalat wa sallam, a dit « ^alaykoum bi chifa^ayn al -^asalou wa l-Qour’an », ce qui signifie « Utilisez les deux remèdes : le miel et le Qour’an » et comme l’a rapporté la dame honorable ^Aichah, que Allah l’agrée, le prophète appréciait le miel accompagné de al-halwa et parfois le prophète quand un aliment nécessitait pour son équilibre un deuxième aliment, il les associait tous les deux, comme par exemple les dattes tendres avec le melon. Et lorsque le prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, n’était pas attiré par une nourriture donnée, lorsque ça entraînait une aversion, il ne la prenait pas, c’est-à-dire il ne la mangeait pas malgré lui. Quand c’est quelque chose pour laquelle il ne penchait pas, il ne la prenait pas et ça c’est une règle très importante pour conserver la bonne santé. Généralement quand la personne consomme d’une chose pour laquelle elle ne penche pas, ça peut être préjudiciable pour la santé. Anas Ibnou Malik, le serviteur du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, a dit « Ma …. », c’est-à-dire, le messager de Allah, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, n’a jamais critiqué un repas, si il l’apprécie, il en mange, sinon il le laisse et il n’en mange pas. Et quand on lui a amené, il y a une catégorie de lézard, qui est gros, qui est chassé et qui est licite à la consommation, ça s’appelle ad-dabb, un des miracles du prophète,  salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, lorsqu’un homme arabe était parti à la chasse, il n’était pas croyant à ce moment-là, il a ramené ce gros lézard, il a trouvé le prophète avec ses compagnons, il s’est adressé avec des paroles sèches au prophète, il a jeté le lézard mort et il a dit « Ô Mouhammad, je ne croirai en toi que si ce lézard mort témoigne en ta faveur ». Allah a accordé un très grand miracle à notre prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam. Le prophète s’est adressé à ce lézard, il lui a dit « Ya dabb », le lézard, Allah l’a ressuscité, il a parlé en Arabe et les gens étaient présents, il lui a dit « je réponds à ton ordre ô messager de Allah » et il lui a dit « qui je suis ? » et il a témoigné qu’il était le messager de Allah. Allah a fait ressuscité cet animal mort pour le prophète et il a témoigné en faveur du prophète, l’homme qui était venu a vu que c’était un miracle, c’était lui qui avait tué ce lézard et il est entré en Islam. Quand on en a ramené au prophète, une fois, il n’en n’a pas mangé, les gens lui ont dit « est-ce que c’est haram d’en manger ? » il a dit, ce qui signifie « non, mais ce n’est pas quelque chose qui est de l’habitude de ma région et je ne suis pas attiré par cette nourriture ». Ainsi, le prophète, ^alayhi s-salat wa sallm, a pris en compte son habitude alimentaire et c’est un point important de veiller à la propre habitude alimentaire. Comme il n’en consommait pas dans sa région, il n’était pas attiré par cela, il n’en a pas mangé mais il n’a pas empêché ceux qui étaient habitués à en consommer d’en consommer et le prophète, ^alayhi ssalat wa sallam, a dit « … » rapporté par At-Tirmidhiyy, ce qui signifie « Le fils de ‘Adam n’aura pas rempli un récipient plus dangereux pour lui que son ventre. Que le fils de ‘Adam se suffise de quelques bouchées qui conservent sa bonne santé et si c’est indispensable, qu’il consacre le tiers pour sa nourriture, le tiers pour la boisson et le tiers pour l’air », c’est-à-dire qu’il ne remplisse pas tout son ventre, qu’il introduise dans son ventre un tiers de nourriture, un tiers de boisson et un tiers qu’il laisse libre pour l’air. Et le prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, était l’imam des ascètes, il ne s’était pas préoccupé du trop de nourriture, il ne multipliait pas les variétés de nourriture et de son époque, les gens ne mangeaient pas beaucoup, le prophète multipliait le jeûne, il jeûnait beaucoup et quand il ne jeûnait pas, il rompait son jeûne sur des aliments en faible quantité, il ne prenait que ce qui est indispensable pour sa bonne santé. La dame honorée ^Aichah, que Allah l’agréée, a dit, ce qui signifie « La famille du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, depuis que nous sommes arrivés à Médine, nous n’avons pas été rassasiés trois nuits de suite de blé », ils n’ont pas été rassasiés trois nuits de suite de cet aliment de base, rapporté par Al-Boukhariyy. Et il arrive que tellement le prophète était ascète, qu’il s’écoulait un mois et deux mois et qu’il n’y avait pas de nourriture qui était préparée sur le feu dans les maisons de ses épouses. Il ne vivait que d’eau et de dattes et le serviteur du messager de Allah, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, Anas Ibnou Malik, que Allah l’agrée, disait « Le messager de Allah, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, est mort et il n’a pas goûté du pain avec la mie, le pain qui est doux ». Un point important, c’est que le fait d’être ascète, de délaisser les biens du bas monde, c’est quelque chose de louable à condition que la personne ne nuise pas à son corps. Allah nous l’interdit pas Sa Parole « … » et Allah tabaraka wa ta^ala dit « … », Allah nous interdit de nuire à notre corps. Et parmi les nourritures qui sont utiles pour le corps, il y a les légumes et les fruits. Le prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, consommait des fruits et des légumes de son pays à leur saison, il consommait de chaque fruit et légume dans la saison dans laquelle on pouvait les manger. Allah soubhanahou wa ta^ala par Sa sagesse, a fait que dans chaque pays il y a des fruits qui profitent aux gens dans leur saison et en consommer est une cause de bonne santé pour eux et ceci peut faire  passer de nombreux médicaments. Il est important de prendre exemple sur notre prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, dans sa conduite et dans ses règles alimentaires, la nourriture et la boisson afin que nous puissions profiter dans le bas monde et dans l’au-delà et Allah dit dans le Qour’an « Laqad kana lakoum … », ce qui signifie « Vous avez en le messager de Allah, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, un très bon exemple pour celui qui espère les récompenses de Allah et être gagnant au Jour du Jugement ». Et parmi les paroles du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, il a dit « La yachba^ou mou’minoun min khayran yasma^ou hatta yakounou mountahahou l-jannah », c’est-à-dire « La yachba^ou mou’minoun min khayran yasma^ou hatta yakounou mountahahou l-jannah »,. Notre chaykh, que Allah l’agréé, a dit « Attachez-vous à œuvrer conformément à ce hadith « Le croyant ne se lasse pas d’un bien qu’il entend jusqu’à ce qu’il arrive au Paradis » et dans le Qour’an, Allah tabaraka wa ta^ala n’a pas ordonné à Son prophète de demander à augmenter en autre chose que la Science. La seule chose que Allah a ordonné au prophète de demander à en augmenter. C’est la Science. Allah ta^ala dit « wa qoul Rabbi zidni ^ilma », ce qui signifie « Ô Seigneur, augmente moi en Science » et parmi les invocations du prophète, salla-l-Lahou ^alayhi wa sallam, « Allahoumma ‘inni ‘as’alouka ^ilman nafi^a », ce qui signifie « Ô Allah, je Te demande de m’accorder une Science utile ». Quelle est la Science utile ? La Science utile, c’est la Science grâce à laquelle, on a la crainte de Allah ta^ala, la Science utile, c’est celle qui entraîne la personne a rechercher le bien dans l’au-delà. Et dans ce hadith, il y a l’indication de l’importance de la Science « La yachba^ou mou’minoun min khayran yasma^ou hatta yakounou mountahahou l-jannah », « Le croyant ne se lasse pas d’un bien qu’il entend jusqu’à ce qu’il arrive au Paradis » et il y a un autre hadith, très important qui a un autre mérite, qui est le hadith de l’amour par recherche de l’agrément de Allah. Que signifie le fait de s’aimer par recherche de l’agrément de Allah, c’est que le musulman aime pour son frère qu’il ait le bien qu’il aime pour lui-même, ce qu’il souhaite pour lui-même, il le souhaite pour son frère, le musulman aime pour son frère ce qu’il aime pour lui-même comme bien et il ne le trompe pas, il ne le trahi pas ni par les actes, ni par la parole. Et il est sincère dans son amour pour lui, c’est-à-dire que si il voit que son frère a un bien, il se réjoui pour lui, il est heureux pour son frère et si il le voit sur autre chose, il a quelque chose de mauvais, alors il déteste ce mauvais caractère dans son frère et il essaie de l’en délivrer, si il le voit par exemple, commettant un péché, il l’aide à s’en sortir. En résumé, il ne va pas être hypocrite avec lui, il ne va pas lui embellir ce qui est mauvais, il lui donne le conseil afin de corriger cette mauvaise chose qui est en lui, c’est cela la signification de l’amour mutuel par recherche de l’agrément de Allah. Le hadith qoudsiyy, c’est-à-dire dans lequel notre prophète a dit « Allah dit… », « Ceux qui s’aiment les uns les autres par recherche de l’agrément de Allah, ceux-là, Allah les fera asseoir sur des chaires en lumière, à l’ombre du Trône », avant qu’ils n’entrent au Paradis, ils seront assis sur des sortes de chaises de lumière, à l’ombre du Trône et les gens seront heureux pour eux, ils se réjouiront de les voir dans cette belle situation même les prophètes et les martyrs, bien que les prophètes aient un degré supérieur que ces gens-là mais lorsqu’ils verront ce qui a été réservé à ces gens qui ont un degré inférieur au leur, ils seront heureux pour eux, ils se réjouiront. L’amour véritable, c’est l’amour qui n’est pas entaché de tromperie, ni d’hypocrisie, c’est-à-dire, lorsqu’il voit son frère dans un mauvais état, il ne lui embelli pas ce mauvais état, il ne se tait pas tant qu’il est capable de l’en délivrer et s’il le voit dans un bon état, il le renforce, il l’encourage, il le soutient, c’est cela la signification de s’aimer par recherche de l’agrément de Allah. Si la personne voit que son frère n’assiste pas aux assemblées de Science ou bien n’accompli pas les devoirs ou bien, il néglige certaines choses importantes dans la religion, il l’incite, il l’encourage, il l’aide, il ne va pas l’aider à sombrer dans l’insouciance, il ne va pas lui embellir le mal, au contraire, il l’aide à s’améliorer. Une des paroles que notre chaykh a fait inscrire dans sa maison, dans son salon, il a un tableau et il a fait inscrire des paroles sur ce tableau pour que les gens, lorsqu’ils rentrent, ils voient ces paroles qui sont écrites et parmi ces paroles qu’il a fait écrire, il y a la parole de l’imam ^Aliyy, que Allah l’agréé, le quatrième calife, l’imam ^Aliyy a dit « Celui qui prétend que notre Dieu est limité, il n’a pas connu le Créateur, Celui qui est adoré », cette phrase a été rapportée de l’imam ^Aliyy par le hafidh Abou Nou^aym dans le livre « hilyatou l’awliyyah ». Cette phrase signifie que celui qui croit ou qui prétend que Allah est un corps de grande taille ou de petite taille, c’est un mécréant qui n’a pas connu Allah. Egalement, celui qui croit que Allah est localisé dans une direction comme le haut, il aura fait que Allah est limité, il aura attribué une limite à Allah et celui qui a une limite, il a besoin de qui lui a donné cette limite et celui qui est dans le besoin, il est incapable, celui qui est dans le besoin est impuissant et celui qui est impuissant, il n’est pas Dieu. Dans les propos de notre maître ^Aliyy, que Allah l’agréé, il y a une preuve claire que Allah est absolument Exempt de la limite. Celui qui Lui attribue la position assise, celui qui Lui attribue l’installation, celui qui Lui attribue la proximité, il n’aura pas connu Allah et celui qui ne connaît pas Allah, il n’est pas musulman, il est mécréant. Al-habba’, le grain de poussière, il a une limite, la fourmi a une limite, l’être humain a une limite, le soleil a une limite, le ciel a une limite, le Trône a une limite, tous ont besoin de qui leur a donné cette limite et ce volume, celui qui a une limite, celui qui a un volume, il est créé, il a besoin, il est incapable, il n’est pas valable qu’il ait la divinité. La divinité n’est valable que pour celui qui n’a pas de limite et c’est Allah soubhanahou wa ta^ala, Allah n’a pas besoin du monde, Allah est Exempt de la taille, Allah est Exempt du volume. Al-Ghazali a dit ce qui signifie « L’adoration n’est valable qu’après avoir connu Celui qui mérite d’être adoré ». Celui qui attribue à Allah la limite, il n’a pas connu Allah et il n’est pas musulman et son adoration n’est pas valable, que ce soit la prière, la zakat, le jeûne le pèlerinage ou ce qui est de cet ordre, ceci est important, ce sont des parole dans le fondement de notre religion et le croyant ne se lasse pas d’un bien qu’il entend jusqu’à ce qu’il arrive au Paradis.

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