Croyance : le plus grand droit de Dieu sur nous
Louanges à Allah. Que Dieu élève en degré le Messager de Allah et apaise ses craintes quant au sort de sa communauté.
Allah ta^ala dit :
[يَا أَيُّها الّذِينَ آمَنُوا اتَّقُوا اللهَ وَلْتَنْظُرْ نَفْسٌ مَا قَدَّمَتْ لِغَد] [1]
(ya ‘ayyouha l-ladhina ‘amanou t-taqou l-Laha wa l-tandhour nafsoun ma qaddamat lighad) ce qui signifie : « Ô vous qui croyez, faites preuve de piété à l’égard de Allah et que chacun considère ce qu’il prépare comme actes de bien pour demain ».
Notre maître ^Aliyy, que Allah l’agrée et honore son visage, a dit : « Aujourd’hui les actes et demain les comptes » [rapporté par Al-Boukhariyy dans le chapitre Ar-Riqaq].
Le plus grand des droits de Allah
sur Ses esclaves
Sache que le plus éminent des droits de Allah sur Ses esclaves, c’est la croyance en Son unicité [2] ta^ala et de ne rien adorer d’autre que Lui. En effet, associer quoi que ce soit à Allah est le plus grand péché que l’esclave puisse commettre. C’est le péché que Allah ne pardonne pas alors qu’Il absout qui Il veut de moindres que celui-là. Allah ta^ala dit :
[إِنَّ اللهَ لاَ يَغْفِرُ أَنْ يُشْرَكَ بِهِ وَيَغْفِرُ مَا دُونَ ذَلِكَ لِمَنْ يَشَاءُ] [3]
(‘inna l-Laha la yaghfirou ‘an youchraka bihi wa yaghfirou ma douna dhalika liman yacha’) ce qui signifie : « Certes, Allah ne pardonne pas qu’on Lui attribue un associé et Il pardonne des péchés moins graves que ça à qui Il veut ».
Il en est de même pour toutes les sortes de mécréance, Allah ne les pardonne pas. La preuve en est Sa parole ta^ala :
[إِنَّ الَّذِينَ كَفَرُوا وَصَدُّوا عَنْ سَبِيلِ اللهِ ثُمَّ مَاتُوا وَهُمْ كُفَّارٌ فَلَنْ يَغْفِرَ اللهُ لَهُمْ] [4]
(‘inna l-ladhina kafarou wa saddou ^an sabili l-Lahi thoumma matou wa houm kouffaroun falan yaghfira l-Lahou lahoum) qui signifie : « Certes, ceux qui ont mécru et qui ont empêché les gens d’entrer en Islam, puis sont morts en étant mécréants, Dieu ne leur pardonnera pas ».
Le Messager de Allah r a dit :
)) مَنْ شَهِدَ أَنْ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَحْدَهُ لاَ شَرِيكَ لَهُ وَأَنَّ مُحَمَّداً عَبْدُهُ وَرَسُولُهُ وَأَنَّ عِيسَى عَبْدُ اللهِ وَرَسُولُهُ وَكَلِمَتُهُ أَلْقَاهَا إِلَى مَرْيَمَ وَرُوحٌ مِنْهُ وَالْجَنَّةَ حَقٌّ وَالنَّارَ حَقٌّ أَدْخَلَهُ اللهُ الْجَنَّةَ عَلَى مَا كَانَ مِنَ الْعَمَلِ ((
[rapporté par Al-Boukhariyy et Mouslim] (man chahida ‘an la ‘ilaha ‘il-la l-Lahou wahdahou la charika lah ; wa ‘anna Mouhammadan ^abdouhou wa raçoulouh ; wa ‘anna ^Iça ^abdou l-Lahi wa raçoulouh ; wa kalimatouhou ‘alqaha ‘ila Maryama wa rouhoun minh ; wa l-jannata haqqoun wa n-nara haqq ; ‘adkhalahou l-Lahou l-jannata ^ala ma kana mina l-^amal) ce qui signifie : « Celui qui témoigne qu’il n’est de dieu que Allah, unique sans associé, que Mouhammad est Son esclave et Son messager, que ^Iça est l’esclave de Allah et Son messager[5], qu’il est Sa bonne nouvelle annoncée à Maryam et que son âme est une âme créée et honorée par Allah[6], que le paradis est réel et que l’enfer est réel, celui-là, Allah le fera entrer au paradis quels que soient les actes qu’il aura accomplis ».
Dans un autre hadith :
(( فَإِنَّ اللهَ حَرَّمَ عَلَى النَّارِ مَنْ قَالَ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ يَبْتَغِي بِذَلِكَ وَجْهَ اللهِ ))
[rapporté par Al-Boukhariyy] (fa’inna l-Laha harrama ^ala n-nari man qala la ‘ilaha ‘il-la l-Lah ; yabtaghi bidhalika wajha l-Lah) ce qui signifie : « Certes, Allah interdit à l’enfer celui qui dit il n’est de dieu que Allah, en recherchant par cela l’agrément de Allah ».
Il est un devoir la fois de croire au message de Mouhammad r et de témoigner qu’il n’est de dieu que Allah, et ceci est le minimum pour être sauvé de l’éternité en enfer.
La signification des deux témoignages
La signification du témoignage qu’il n’est de dieu que Allah est globalement : je reconnais par ma langue et je crois et j’accepte par mon cœur que Celui Qui mérite d’être adoré, c’est Allah ta^ala exclusivement.
La signification du témoignage que Mouhammad r est le Messager de Allah est : je reconnais par la langue et je me soumets par le cœur que notre maître Mouhammad est le messager de Allah envoyé à tous les mondes, humains et jinns, qu’il est véridique en tout ce qu’il a transmis de la part de Allah ta^ala afin qu’ils aient foi en sa Loi (chari^ah) et le suivent.
Ce qui est visé par les deux témoignages c’est de nier la divinité à tout autre que Allah, de la confirmer pour Allah et ce, en reconnaissant et en croyant au message de notre maître Mouhammad r.
Allah ta^ala dit :
[وَمَنْ لَمْ يُؤْمِنْ بِاللهِ وَرَسُولِهِ فَإِنَّا أَعْتَدْنَا لِلْكَافِرِينَ سَعِيراً] [7]
(wa man lam you’min bil-Lahi wa raçoulihi fa’inna ‘a^tadna li l-kafirina sa^ira) ce qui signifie : « Ceux qui ne croient pas en Allah et en Son Messager, alors Nous avons préparé pour les mécréants l’enfer ».
Cette ‘ayah juge explicitement mécréant quiconque ne croit pas en Mouhammad r. Celui qui conteste à ce sujet contredit le Qour’an et celui qui contredit le Qour’an devient mécréant.
Les juristes de l’Islam ont unanimement jugé mécréant celui qui a une autre religion que l’Islam ainsi que celui qui ne le juge pas mécréant, celui qui en doute ou bien celui qui ne se prononce pas comme en disant : (moi, je ne dis pas qu’il est mécréant ni qu’il n’est pas mécréant).
Sache aussi avec certitude que la foi et l’Islam ne sont pas valables et que les bonnes œuvres ne sont pas acceptées, sans les deux témoignages avec l’expression : (‘ach-hadou ‘an la ‘ilaha ‘il-la l-Lah, wa ‘ach-hadou ‘anna Mouhammadan raçoulou l-Lah) « Je témoigne qu’il n’est de dieu que Allah et je témoigne que Mouhammad est le messager de Allah », ou toute expression qui a la même signification, même dans une autre langue que la langue arabe. Il suffit pour la validité de l’Islam de prononcer les deux témoignages une fois dans la vie et il reste un devoir de les prononcer dans chaque prière pour que la prière soit valide, ceci concernant quelqu’un qui n’est pas en Islam puis veut embrasser l’Islam.
Quant à celui qui a grandi dans l’Islam en croyant aux deux témoignages, il n’est pas une condition pour lui de les prononcer : il est musulman même s’il ne les articule pas.
Le Prophète r a dit :
(( قَالَ اللهُ تَعَالَى : وَمَا تَقَرَّبَ إِلَيَّ عَبْدِي بِشَيْءٍ أَحَبَّ إِلَيَّ ِممَّا افْتَرَضْتُ عَلَيْهِ ))
[hadith qoudsiyy rapporté par Al-Boukhariyy] (qala l-Lahou ta^ala : wa ma taqarraba ‘ilayya ^abdi bichay’in ‘ahabba ‘ilayya mimma f-taradtou ^alayh) ce qui signifie : « Allah ta^ala dit : Rien ne rapproche davantage Mon esclave de Moi que l’accomplissmeent de ce que Je lui ai rendu obligatoire ». Or la meilleure et la première des obligations est la foi en Allah et en Son Messager.
D’autre part, la croyance seule qu’il n’est de dieu que Allah ne suffit pas si on ne lui joint pas la croyance que Mouhammad est Son Messager.
Allah ta^ala dit :
[قُلْ أَطِيعُوا اللهَ وَالرَّسُولَ فَإِنْ تَوَلَّوْا فَإِنَّ اللهَ لاَ يُحِبُّ الْكَافِرِينَ] [8]
(qoul ‘ati^ou l-Laha wa r-raçoula fa’in tawallaw fa’inna l-Laha la youhibbou l-kafirin) ce qui signifie : « Dis : Obéissez à Allah et au Messager. S’ils se détournent, alors certes Allah n’aime pas les mécréants », c’est-à-dire que Allah n’aime pas ceux qui se détournent de la croyance en Allah et au Messager, en raison de leur mécréance et ce qui est visé par l’obéissance à Allah et à Son messager dans cette ‘ayah c’est de croire en eux.
Ceci est donc une preuve que celui qui n’a pas cru en Allah et en Son Messager Mouhammad r est mécréant et que Allah ta^ala ne l’aime pas en raison de sa mécréance.
Par conséquent, si quelqu’un dit que Allah aime les croyants et les mécréants parce qu’Il les a tous créés, il aura démenti le Qour’an ; on lui répond : « Allah les a tous créés mais ne les aime pas tous ».
L’obligation pour toute personne responsable (moukallaf)
Sache que prononcer les deux témoignages après la puberté est une obligation pour toute personne responsable[9], une fois dans sa vie, avec l’intention d’accomplir l’obligation chez les malékites, car pour eux, la récitation du tachahhoud n’est pas un devoir pendant la prière ; ils la considèrent comme recommandée. Chez d’autres savants, tels que les chaféites et les hanbalites, la récitation du tachahhoud est un devoir dans chaque prière pour la validité de la prière.
Il n’est pas de religion vraie autre que l’Islam
La juste religion selon le jugement de Allah, c’est l’Islam.
Allah ta^ala dit :
[وَمَنْ يَبْتَغِ غَيْرَ الإِسْلاَمِ دِيناً فَلَنْ يُقْبَلَ مِنْهُ] [10]
(wa man yabtaghi ghayra l-‘Islami dinan falan youqbala minh) ce qui signifie : « Si quelqu’un recherche une autre religion que l’Islam, elle ne sera pas accepté de lui ».
Allah ta^ala dit aussi :
[إِنَّ الدِّينَ عِنْدَ اللهِ الإِسْلاَم] [11]
(‘inna d-dina ^inda l-Lahi l-‘islam) ce qui signifie : « Certes la religion agréée selon le jugement de Allah est l’Islam ».
Ainsi, tous les prophètes sont musulmans. Celui qui a suivi Mouça r est un musulman mouçawiyy, et celui qui a suivi ^Iça r est un musulman ^içawiyy. Il est valable de dire à propos de celui qui suit Mouhammad r qu’il est un musulman mouhammadiyy.
L’Islam est la religion que Allah agrée pour Ses esclaves et qu’Il nous ordonne de suivre.
On n’appelle pas Allah « mouslim » –musulman– comme le disent certains ignorants.
Jadis, l’humanité entière avait une seule religion, l’Islam.
Attribuer des associés à Allah (ach-chirk) et mécroire Allah ta^ala ne survinrent qu’après le prophète Idris r.
Nouh [12] fut alors le premier prophète envoyé aux mécréants pour les appeler à l’adoration de Allah Al-Wahid Celui Qui est unique et Qui n’a pas d’associé. Allah a mis en garde contre l’association tous les messagers qui sont venus après lui [13].
Notre maître Mouhammad r renouvela donc l’appel à l’Islam après que cette religion disparut d’entre les hommes, sur terre. Il fut appuyé en cela par des miracles qui prouvaient son statut prophétique. Certains sont donc entrés en Islam et les égarés le rejetèrent en tant que prophète. Parmi eux, certains étaient auparavant des associateurs, tel un groupe de mécréants des fils de ‘Isra’il qui a adoré ^Ouzayr. Ils ont ainsi accumulé mécréance sur mécréance. D’autres parmi les gens du Livre, juifs et chrétiens, ont cru en lui. C’est le cas de ^Abdou l-Lah Ibnou Salam qui était le savant des juifs à Médine et As–hamah An-Najachiyy, le roi d’Abyssinie qui était chrétien puis suivit le Messager r complètement ; il mourut du vivant du Messager de Allah et le Messager a fait la prière funéraire en sa faveur in absentia (salatou l-gha’ib) le jour même de sa mort. Allah lui a révélé sa mort. Par la suite, on pouvait voir la nuit une lumière au-dessus de sa tombe. Ceci est une preuve qu’il était devenu un musulman complet, un des saints de Dieu, que Allah l’agrée.
Le principe islamique qui réunit tous les gens de l’Islam, c’est l’adoration de Dieu uniquement.
Le jugement de celui qui se réclame de l’Islam par la parole mais en contredit le sens
Il y a de nombreux groupes qui ont contredit le sens de l’Islam, même s’ils se réclament de l’Islam en prononçant les deux témoignages (‘ach-hadou ‘an la ‘ilaha ‘il-la l-Lah wa ‘ach-hadou ‘anna Mouhammadan raçoulou l-Lah) soit en français : je témoigne qu’il n’est de dieu que Dieu et je témoigne que Mouhammad est le messager de Dieu, parce qu’ils ont contredit les deux témoignages en ayant pour croyance ce qui s’y oppose. Ils sont sortis du monothéisme en adorant d’autres que Allah. Ceux-là sont donc mécréants. Ce ne sont pas des musulmans. C’est le cas de ceux qui crurent à la divinité de ^Aliyy ‘Ibnou ‘Abi Talib, de Al-Khadir, de Al-Hakim bi’amri l-Lah ou d’autres encore, ou bien les paroles et gestes ayant le même jugement.
Le jugement de celui qui renie les deux témoignages, c’est de le déclarer mécréant, catégoriquement. Sa demeure sera le feu de l’enfer dans lequel il restera éternellement. Le châtiment dans l’au-delà ne s’interrompra pas pour lui, tout ceci pour l’éternité. Il ne sortia pas du feu.
En revanche, celui qui s’acquitte du plus éminent des droits que Allah a sur lui, en n’adorant que Lui ta^ala, c’est-à-dire en cessant de Lui associer quoi que ce soit, et en reconnaissant la véracité de Son Messager r, celui-là ne restera pas dans pour toujours dans le feu de la géhenne, même s’il y entre pour ses péchés. Sa destinée finale sera en fin de compte, dans tous les cas, de sortir de l’enfer et d’entrer au paradis, après avoir subi le châtiment qu’il a mérité si Allah ne lui pardonne pas. Le Messager de Allah r a dit :
(( يَخْرُجُ مِنَ النَّارِ مَنْ قَالَ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَفِي قَلْبِهِ وَزْنُ ذَرَّةٍ مِنْ إِيمَانٍ ))
[rapporté par Al-Boukhariyy] (yakhroujou mina n-nari man qala la ‘ilaha ‘il-la l-Lah wa fi qalbihi waznou dharratin min ‘iman) ce qui signifie : « Sortira du feu quiconque a dit : il n’est de dieu que Allah en ayant dans son cœur ne serait-ce qu’un poids infime de foi ».
Quant à celui qui s’en tient à la croyance en Son unicité ta^ala, qui se garde de Lui désobéir et accomplit ce qu’Il ordonne, celui-là entrera au paradis sans châtiment, là où se trouve la félicité éternelle à jamais. La preuve en est le hadith qoudsiyy qu’a rapporté Abou Hourayrah. Il a dit : le Messager de Allah r dit :
)) قَالَ اللهُ عَزَّ وَجَلَّ : أَعْدَدْتُ لِعِبَادِيَ الصَّالِحِينَ مَا لاَ عَيْنٌ رَأَتْ وَلاَ أُذُنٌ سَمِعَتْ وَلاَ خَطَرَ عَلَى قَلْبِ بَشَر ((
(qala l-Lahou ^azza wa jall : ‘a^dadtou li^ibadiya s–salihina ma la ^aynoun ra’at wa la ‘oudhounoun sami^at wa la khatara ^ala qalbi bachar) ce qui signifie : « Allah ^azza wa jall dit : J’ai préparé pour Mes esclaves vertueux ce qu’aucun œil ne vit jamais, aucune oreille n’entendit et que nul cœur de mortel ne conçut ». Abou Hourayrah a dit aussi : « Récitez si vous le voulez, Sa parole ta^ala :
[14] [فَلاَ تَعْلَمُ نَفْسٌ مَا أُخْفِيَ لَهُمْ مِنْ قُرَّةِ أَعْيُنٍ جَزَاءً بِمَا كَانُوا يَعْمَلُونَ]
(fala ta^lamou nafsoun ma ‘oukhfiya lahoum min qourrati ‘a^younin jaza’an bima kanou ya^maloun) ce qui signifie : « Aucune âme ne sait ce qui lui a été caché comme source de joie, en récompense de ce qu’elle faisait » [rapporté par Al-Boukhariyy dans le Sahih].
[1] [souratou l-Hachr / 18]
[2] c’est-à-dire qu’Il n’a pas d’associé.
[3] [sourat An-Niça‘ / 48]
[4] [sourat Mouhammad / 34]
[5] Et dans une autre version, il y a un ajout de (wa bnou amatih) qui signifie : « et le fils de Son esclave ».
[6] La signification de (wa rouhoun minh) est que le Messie est une âme qui est créée et amenée à l’existence par Allah. Cela n’a pas le sens de la parcellisation. Allah ta^ala dit : (wa sakh-khara lakoum ma fi s-samawati wa ma fi l-‘ardi jami^an minh) [Al-Jathiyah / 13] ce qui signifie : « Et Il vous a asservi ce qui est dans les cieux et sur la terre, tout cela étant de Lui ». Cela veut dire que tout ce qu’il y a dans les cieux et sur terre provient de Allah par création et en le faisant entrer en existence. Cela ne veut pas dire que ce sont des parties de Allah ta^ala.
[7] [sourat Al-Fat-h / 13]
[8] [sourat ‘Ali ^Imran / 32]
[9] Celui qui est responsable est celui qui est pubère, sain d’esprit et à qui est parvenu l’appel du Messager.
[10] [souratou ‘Ali ^Imran / 85]
[11] [souratou ‘Ali ^Imran / 19]
[12] Entre Nouh r et Idris r mille ans se sont écoulés. Cette époque est appelée la première jahiliyyah que Allah a évoquée par Sa parole : [ولا تبرّجن تبرّج الجاهليّة الأولى] (wa la tabarrajna tabarrouja l-jahiliyyati l-‘oula) [sourat Al-‘Ahzab / 33] ce qui signifie : « Ne vous exhibez pas [ô femmes] comme les femmes de la première jahiliyyah le firent ».
[13] Ce qui est visé par la mise en garde des messagers c’est la mise en garde de leurs communautés car les prophètes sont préservés de l’adoration d’autre que Allah (ach-chirk).
[14] [Sourat As-Sajdah / 17]